C'est la taille de ton empreinte numérique
So gross ist dein digitaler Fussabdruck
Quelle est l’ampleur de ton empreinte numérique?
Ecco quanto è grande la tua impronta digitale
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Scroller, lier des séries, enregistrer des données : cela semble inoffensif, mais cela coûte de l'énergie. Voici la taille réelle de ton empreinte numérique, les raisons pour lesquelles elle est sous-estimée et les astuces simples qui te permettront d'économiser des ressources en ligne.
Doomscrolling, Serien bingen, Daten speichern: klingt harmlos, kostet aber Energie. Wie gross dein digitaler Fussabdruck wirklich ist, warum er unterschätzt wird und mit welchen einfachen Tricks du online Ressourcen sparst.
«Doomscrolling», «binge-watching», stockage de données: tout ça paraît anodin, mais cela consomme bel et bien de l’énergie. Découvre quelle est l’ampleur réelle de ton empreinte numérique, pourquoi elle est souvent sous-estimée et grâce à quels gestes simples tu peux économiser des ressources en ligne.
Doomscrolling, binge watching, archiviazione dei dati: sembrano attività innocue, ma consumano energia. Scopri quanto è davvero grande la tua impronta digitale, perché spesso viene sottovalutata e come, con pochi semplici accorgimenti, puoi risparmiare risorse anche online.
Un clic ici, une vidéo là, une photo rapidement téléchargée, de la musique en streaming, un fichier enregistré. Mais même si tu n'envoies pas de camions sur l'autoroute : la vie numérique consomme aussi de l'électricité. Et plus que tu ne le penses.
L'infrastructure informatique mondiale - centres de données, réseaux, terminaux - consomme désormais près de 10 % de l'électricité mondiale. Et cela ne cesse d'augmenter. Plus nous diffusons, stockons et envoyons, plus notre empreinte numérique s'accroît.
Streaming : ta soirée séries avec frais annexes
Netflix, Youtube, Tiktok : le streaming représente désormais près de 60% du trafic Internet mondial. Une heure de streaming HD peut générer jusqu'à 300 grammes de CO₂ - voire plus selon le terminal, la ligne de données et le mix électrique. À titre de comparaison, une bouilloire électrique ne consomme qu'environ 20 grammes de CO₂ pour un litre.
→ Avantage : en passant à une qualité d'image inférieure (par exemple de 4K à HD), on économise jusqu'à 75% du volume de données. Et : télécharger des séries et les regarder hors ligne ? Encore plus efficace.
Stockage dans le nuage : pratique, mais gourmand en données
Google Drive, Dropbox, iCloud et autres stockent des photos, des documents et des vidéos sur des serveurs qui fonctionnent, sont refroidis et sauvegardés 24 heures sur 24. Cela consomme de l'électricité - en permanence. Plus tu stockes de données, plus les serveurs fonctionnent en arrière-plan. L'inconvénient, c'est que de nombreux utilisateurs stockent inutilement leurs fichiers en double ou en triple.
→ Conseil : faire régulièrement le ménage, supprimer les anciens fichiers et choisir des fournisseurs qui misent sur des centres de données verts, comme par exemple Infomaniak ou pCloud en Suisse.
Mails, apps et connexion permanente : petits, mais qui s'additionnent
20 newsletters, 50 e-mails non lus, 12 messages push par jour et chacun d'entre eux doit être enregistré, transmis, affiché. Un seul e-mail avec pièce jointe peut déjà générer dix grammes de CO₂. Cela semble peu, mais avec des millions d'e-mails, cela devient vite gigantesque.
→ Conseil : se désabonner des newsletters, envoyer des e-mails de manière plus ciblée, supprimer régulièrement les apps. Et : désactiver les notifications push permet non seulement d'économiser de l'énergie, mais aussi de ménager ses nerfs.
Des alternatives efficaces sur le plan énergétique
Notre vie numérique laisse des traces sur les serveurs, dans les centres de données et dans la consommation d'énergie. La bonne nouvelle, c'est que tu n'as pas besoin d'être hors ligne pour être plus efficace.
De petits changements, des décisions conscientes et un peu de nettoyage numérique de printemps font déjà une différence.
- Activer le mode sombre sur les écrans OLED permet d'économiser de l'énergie
- Éteindre les appareils au lieu de les mettre en veille, surtout les routeurs, les ordinateurs portables, les téléviseurs
- Utiliser des moteurs de recherche comme Ecosia ou Mojeek, qui utilisent des serveurs verts ou plantent des arbres.
- Examiner les solutions de stockage local, car souvent un disque dur externe suffit au lieu d'un cloud permanent
Ein Klick hier, ein Video da, schnell mal ein Bild hochgeladen, Musik gestreamt, Datei gespeichert. Aber auch wenn du keine Trucks über die Autobahn schickst: auch das digitale Leben das frisst Strom. Und zwar mehr, als du denkst.
Die globale IT-Infrastruktur – Rechenzentren, Netzwerke, Endgeräte – verbraucht inzwischen fast 10 Prozent des weltweiten Stroms. Und es wird immer mehr. Je mehr wir streamen, speichern und senden, desto grösser wird unser digitaler Fussabdruck.
Streaming: dein Serienabend mit Nebenkosten
Netflix, Youtube, Tiktok: Streaming macht mittlerweile rund 60 Prozent des weltweiten Internet-Traffics aus. Eine Stunde HD-Streaming kann bis zu 300 Gramm CO₂ verursachen – je nach Endgerät, Datenleitung und Strommix sogar mehr. Zum Vergleich: Ein Wasserkocher braucht für einen Liter gerade mal rund 20 Gramm CO₂.
→ Vorteil: Wer auf kleinere Bildqualität umstellt (beispielsweise von 4K auf HD), spart bis zu 75 Prozent des Datenvolumens. Und: Serien downloaden und offline schauen? Noch effizienter.
Cloud-Speicher: praktisch, aber datenhungrig
Google Drive, Dropbox, iCloud und Co. speichern Fotos, Dokumente und Videos auf Servern, die rund um die Uhr laufen, gekühlt und gesichert werden. Das frisst Strom – permanent. Je mehr du speicherst, desto mehr Server laufen im Hintergrund. Der Nachteil dabei ist, dass viele Nutzerinnen und Nutzer unnötig doppelt und dreifach ihre Dateien speichern.
→ Tipp: Regelmässig aufräumen, alte Dateien löschen und Anbieter wählen, die auf grüne Rechenzentren setzen wie beispielsweise Infomaniak oder pCloud aus der Schweiz.
Mails, Apps und Dauer-Online: klein, aber summiert sich
20 Newsletter, 50 ungelesene Mails, 12 Push-Nachrichten täglich und jede davon muss gespeichert, übertragen, angezeigt werden. Schon eine einzige E-Mail mit Anhang kann zehn Gramm CO₂ verursachen. Klingt wenig, wird aber bei Millionen Mails schnell gigantisch.
→ Tipp: Newsletter abbestellen, E-Mails gezielter versenden, Apps regelmässig löschen. Und: Push-Benachrichtigungen ausschalten spart nicht nur Strom, sondern auch Nerven.
Energieeffiziente Alternativen
Unser digitales Leben hinterlässt Spuren auf Servern, in Rechenzentren und im Stromverbrauch. Die gute Nachricht: Du musst nicht offline gehen, um effizienter zu werden.
Kleine Umstellungen, bewusste Entscheidungen und ein wenig digitaler Frühjahrsputz machen schon einen Unterschied.
- Dark Mode aktivieren bei OLED-Bildschirmen spart Strom
- Geräte ausschalten statt Standby, vor allem Router, Laptops, TV
- Suchmaschinen wie Ecosia oder Mojeek nutzen, diese setzen auf grüne Server oder pflanzen Bäume
- Lokale Speicherlösungen prüfen, denn oft reicht eine externe Festplatte statt dauerhafte Cloud
Un clic par-ici, une vidéo par-là, une photo mise en ligne, un peu de musique en streaming, un fichier sauvegardé. Même si tu n’envoies pas de camions sur l’autoroute, ta vie numérique consomme aussi de l’électricité. Et bien plus que tu ne le penses.
L'infrastructure numérique mondiale (centres de données, réseaux, terminaux) consomme désormais près de 10% de l’électricité mondiale. Et ce chiffre ne cesse d’augmenter. Plus on stream, stocke et envoie de données, plus notre empreinte numérique grandit.
Streaming: ta soirée séries avec des «frais cachés»
Netflix, YouTube, TikTok: le streaming représente aujourd’hui environ 60% du trafic Internet mondial. Une heure de streaming en HD peut générer jusqu’à 300 grammes de CO₂, voire plus selon l’appareil utilisé, la connexion Internet et le mix énergétique. À titre de comparaison, une bouilloire électrique consomme environ 20 grammes de CO₂ pour faire bouillir un litre d’eau.
→ Bon à savoir: passer à une qualité d’image inférieure (par exemple de la 4K à la HD) permet d’économiser jusqu’à 75% du volume de données. Et télécharger ses séries pour les regarder hors ligne? Encore plus efficace.
Stockage dans le cloud: pratique, mais gourmand en données
Google Drive, Dropbox, iCloud et consorts stockent nos photos, documents et vidéos sur des serveurs qui fonctionnent 24 heures sur 24, sont refroidis et sécurisés. Cela consomme de l’énergie en permanence. Plus tu stockes, plus les serveurs doivent fonctionner en arrière-plan. Et de nombreux utilisateurs enregistrent inutilement leurs fichiers en double ou triple.
→ Conseil: fais régulièrement le tri, supprime les anciens fichiers et privilégie des fournisseurs qui utilisent des centres de données écologiques, comme Infomaniak ou pCloud en Suisse.
Mails, applications et connexion permanente: cela semble insignifiant, mais ça finit par compter
20 newsletters, 50 mails non lus, 12 notifications push par jour – chacune de ces données doit être stockée, transférée, affichée. Un seul e-mail avec une pièce jointe peut générer dix grammes de CO₂. Cela paraît peu, mais multiplié par des millions, cela finit par représenter une quantité considérable.
→ Astuce: désabonne-toi des newsletters inutiles, envoie moins de mails, supprime régulièrement des applications. Et n’oublie pas: désactive les notifications push, ça permet non seulement d’économiser de l’électricité, mais aussi de ménager tes nerfs.
Alternatives écoénergétiques
Notre vie numérique laisse des traces sur les serveurs, dans les centres de données et sur la facture d’électricité. La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas besoin de te déconnecter pour optimiser ta consommation.
Quelques petits changements, des choix plus conscients et un peu de ménage numérique suffisent déjà à faire la différence:
- Activer le mode sombre sur les écrans OLED permet d’économiser de l’électricité
- Éteindre ses appareils plutôt que de les laisser en veille, en particulier les routeurs, ordinateurs portables et téléviseurs
- Utiliser des moteurs de recherche comme Ecosia ou Mojeek, qui utilisent des serveurs écologiques ou plantent des arbres.
- Privilégier des solutions de stockage locales: un simple disque dur externe suffit plutôt que d’utiliser le cloud en continu.
Un clic qui, un video là, una foto caricata al volo, un po’ di musica in streaming, un file salvato. Anche se non consumi tanto quanto una centrale elettrica, la vita digitale consuma energia – e più di quanto pensi.
L’infrastruttura informatica globale (centri di calcolo, reti e dispositivi) consuma ormai quasi il 10% dell’elettricità mondiale. E il consumo continua ad aumentare: più facciamo streaming, salviamo e inviamo dati, più grande diventa la nostra impronta digitale.
Streaming: la tua serata di serie con costi nascosti
Netflix, YouTube, TikTok: lo streaming rappresenta ormai circa il 60% del traffico Internet mondiale. Un’ora di streaming in HD può generare fino a 300 grammi di CO₂, e anche di più, a seconda del dispositivo, della connessione e del mix energetico. Per fare un confronto: far bollire un litro d’acqua con un bollitore produce solo circa 20 grammi di CO₂.
→ Il vantaggio: chi passa a una qualità d’immagine inferiore (per esempio da 4K a HD) può risparmiare fino al 75% del traffico dati. E se invece scaricassi le serie e le guardassi offline? È ancora più efficiente.
Stoccaggio sul Cloud: pratico, ma avido di dati
Google Drive, Dropbox, iCloud e simili conservano foto, documenti e video su server che funzionano 24 ore su 24, raffreddati e protetti in modo costante. Tutto ciò consuma energia, in continuazione. Più dati salvi, più server devono lavorare in background. Il problema è che molti utenti finiscono per salvare gli stessi file due o tre volte senza alcun bisogno.
→ Consiglio: fai regolarmente pulizia sul tuo Cloud, elimina i vecchi file e scegli fornitori che utilizzano data center ecologici, come ad esempio Infomaniak o pCloud che si trovano entrambi in Svizzera.
E-mail, app e connessione continua: piccoli consumi che si sommano
20 newsletter, 50 e-mail non lette, 12 notifiche push al giorno, e ognuna di esse deve essere memorizzata, trasmessa e visualizzata. Una sola e-mail con allegato può generare fino a 10 grammi di CO₂. Può sembrare poco, ma moltiplicato per milioni di e-mail diventa rapidamente enorme.
→ Consiglio: disiscrivetevi dalle newsletter, inviate e-mail mirate, cancellate regolarmente le app che non utilizzate. Inoltre, disattivare le notifiche push non solo fa risparmiare energia elettrica, ma anche nervi.
Alternative digitali a basso consumo energetico
La nostra vita digitale lascia tracce sui server, nei data center e nei consumi di elettricità. La buona notizia? Non devi per forza disconnetterti per essere più efficiente.
Piccoli cambiamenti, scelte consapevoli e un po’ di «pulizia digitale» fanno già la differenza.
- Attivare la Dark Mode sugli schermi OLED permette di risparmiare energia
- Spegnere i dispositivi invece di lasciarli in standby, soprattutto router, laptop e TV
- Usare motori di ricerca come Ecosia o Mojeek, che sfruttano server ecologici o piantano alberi
- Valutare soluzioni di archiviazione locale, perché spesso basta un hard disk esterno invece di un Cloud
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