L'ex-hockeyeur professionnel Riccardo Signorell sur la patinoire artificielle qu'il a construite à Rapperswil. Photo : Green Hockey

Ce champ de plastique marin séduit même les professionnels du hockey sur glace

Dieses Feld aus Meeresplastik begeistert sogar Eishockey-Profis

«Nous démocratisons le hockey sur glace»

«Democratizziamo l’hockey su ghiaccio»

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L'ancien hockeyeur professionnel Riccardo Signorell et sa femme Dayana construisent des patinoires artificielles sur lesquelles on peut patiner comme sur de la vraie glace. Désormais, ils proposent également la glace artificielle pour la cave à domicile et veulent ainsi faire progresser la relève.

Le changement climatique laisse également des traces dans le hockey sur glace. L'exploitation d'une patinoire de hockey coûte énormément d'énergie. Il fait souvent trop chaud pour les terrains extérieurs. En même temps, les professionnels souhaitent s'entraîner toute l'année dans des conditions de compétition. L'ancien hockeyeur professionnel Riccardo Signorell a développé la solution avec son entreprise Green Hockey : de la glace artificielle recyclée et des patins et des palets adaptés. Une grande installation est déjà en service à Rapperswil.

Un samedi soir à Zurich. Le ZSC reçoit le CP Berne. La Swiss-Life-Arena, qui affiche complet, tremble. Le match s'appelle hockey sur glace, mais il se déroule depuis peu sur du plastique. Un scénario réaliste ?

Riccardo Signorell : Oui, absolument, même si cela nécessite encore quelques années de développement. Au début, je peux m'imaginer que seuls les juniors et les ligues inférieures utiliseront cette surface comme terrain de jeu en plus de l'entraînement. En outre, une ligue de hockey d'été pourrait bientôt voir le jour. Nos produits créent des possibilités sans précédent pour faire vivre mon sport favori dans le monde entier. Il est difficile de dire pour l'instant si les professionnels y joueront leurs matches.

"Nous démocratisons le hockey sur glace". - Riccardo Signorell

Vous avez joué au hockey sur glace au plus haut niveau pendant des décennies. Maintenant, vous construisez des patinoires artificielles. Pourquoi cela ? Est-ce une question de durabilité ou de pragmatisme ?

En construisant des patinoires artificielles, nous démocratisons le hockey sur glace. J'ai grandi à côté d'une patinoire et j'ai passé chaque minute de libre sur la glace chaque jour en hiver. Si j'avais eu cette surface pour Skills & Repetition dans ma cave ou mon garage quand j'étais enfant, j'aurais été au septième ciel. De telles surfaces créent un immense potentiel d'entraînement dans un espace réduit. De plus, ma femme et moi sommes extrêmement intéressés par le fait de rendre le monde de demain plus conscient et plus holistique. Dans ce contexte, la durabilité n'est pas simplement un concept à la mode, mais un programme.

Le fait qu'il soit possible de remplacer la glace par du plastique n'est pas nouveau. En quoi votre produit est-il nouveau ?

Il s'agit en fait de trois nouvelles inventions qui s'accordent entre elles. Au tout début, nous avons bricolé de nouveaux patins et nous avons pu patiner comme sur de la glace dès le premier prototype. En fait, ce sont nos Sharkblades interchangeables qui nous ont poussés à nous intéresser de près à la glace synthétique. D'innombrables tests avec des joueurs professionnels, y compris de la NHL, ont montré que les deux produits devaient être en symbiose pour offrir une performance optimale. Contrairement aux plaques de glace synthétiques existantes, les nôtres sont enrichies de plastique marin échoué sur la glace. Le troisième produit est un palet spécial composé d'un mélange de plastique et de caoutchouc. Les palets traditionnels sont inutilisables pour la glace artificielle.

D'où vient le plastique marin ?

Il est collecté sur les plages d'Asie du Sud-Est, où il est trié, nettoyé et traité. Il est ensuite acheminé par bateau via Rotterdam vers notre producteur Oceanice Murdotec en Allemagne.

Un grand champ est déjà en service à Rapperswil. Quelle est la durabilité réelle d'une telle installation ? Le recyclage, c'est toujours une chose. Souvent, il n'y a que dix à vingt pour cent de déchets mélangés.

Le plastique est un sujet difficile en ce moment. Les gens n'en savent pas assez sur le sujet. Ce thermoplastique est un matériau fantastique, utilisé dans l'industrie alimentaire et dans de nombreux endroits du monde. Il n'a rien à faire dans la mer et c'est précisément à cela que nous voulons nous attaquer. Notre mélange est un secret de fabrication, mais il est bien supérieur à 20 pour cent. Nous dépasserons les 60 pour cent dans les années à venir en reprenant d'anciennes surfaces. Pour garantir la stabilité et la sécurité du processus, nous sommes également obligés d'ajouter du plastique neuf.

L'évolution dans ce domaine est fulgurante. Quoi de neuf ?

Les prochains projets iront dans le sens d'un centre d'entraînement professionnel, le premier étant celui de Langnau. Actuellement, nous sommes en négociation avec divers clubs professionnels en Suisse et à l'étranger. De plus, nous nous concentrons actuellement sur un package "hockey-mom".

Qu'est-ce que cela signifie ?

Nous proposons de petites patinoires artificielles à usage domestique. Pour 5000 francs, on obtient quelques mètres carrés de surface de jeu, nos patins Sharkblades et le palet spécial. En échange, on peut s'entraîner douze mois par an, quand on le souhaite. Ceux qui ont déjà joué au hockey de manière ambitieuse savent que cela permet d'économiser beaucoup d'argent dès la première année.

Der Klimawandel hinterlässt auch im Eishockey seine Spuren. Ein Hockeyfeld zu betreiben, kostet Unmengen an Energie. Für Aussenfelder ist es vielfach zu warm. Gleichzeitig möchte man als Profi eigentlich das ganze Jahr zu Wettkampfbedingungen trainieren. Der ehemalige Eishockeyprofi Riccardo Signorell hat mit seiner Firma Green Hockey die Lösung entwickelt: recyceltes Kunsteis und darauf abgestimmte Kufen und Pucks. In Rapperswil ist bereits eine grosse Anlage im Einsatz.

Ein Samstagabend in Zürich. Der ZSC empfängt den SC Bern. Die ausverkaufte Swiss-Life-Arena bebt. Eishockey heisst das Spiel, doch es findet neuerdings auf Plastik statt. Ein realistisches Szenario?

Riccardo Signorell: Ja, auf jeden Fall, obwohl das noch ein paar Jahre Entwicklung braucht. Zu Beginn kann ich mir vorstellen, dass nur Junioren und untere Ligen diesen Untergrund neben dem Training auch als Spielfeld nutzen. Ausserdem könnte in Kürze eine Sommer-Hockey-League dazukommen. Unsere Produkte schaffen nie da gewesene Möglichkeiten, um meinen geliebten Sport weltweit am Leben zu erhalten. Ob am Schluss dann die Profis ihre Spiele darauf austragen, ist im Moment schwierig zu beantworten.

«Wir demokratisieren das Eishockey.» - Riccardo Signorell

Sie haben jahrzehntelang auf höchstem Niveau Eishockey gespielt. Jetzt bauen Sie Kunsteisplätze. Warum? Geht es da um die Nachhaltigkeit oder um Pragmatismus?

Mit dem Bau von Kunsteisflächen demokratisieren wir das Eishockey. Ich bin neben einer Eisbahn aufgewachsen und habe im Winter täglich jede freie Minute auf dem Eis verbracht. Hätte ich als Kind im Keller oder der Garage diesen Untergrund für Skills & Repetition gehabt, ich wäre im siebten Himmel gewesen. Solche Flächen schaffen auf kleinstem Raum ein immensen Trainingspotenzial. Zudem sind meine Frau und ich extrem daran interessiert, die Welt von morgen bewusster und holistischer zu gestalten. Da ist Nachhaltigkeit nicht einfach ein Modebegriff, sondern Programm.

Dass es die Möglichkeit gibt, Eis mit Kunststoff zu ersetzen, ist nicht neu. Was ist neu an Ihrem Produkt?

Es sind eigentlich drei neue Erfindungen, die aufeinander abgestimmt sind. Ganz am Anfang haben wir an neuen Kufen herumgetüftelt und konnten schon mit dem ersten Prototyp wie auf Eis fahren. Also eigentlich sind unsere austauschbaren Sharkblades dafür verantwortlich, dass wir uns intensiv mit synthetischem Eis auseinandergesetzt haben. Unzählige Tests mit Profispielern auch aus der NHL haben gezeigt, dass beide Produkte in einer Symbiose sein müssen, um eine optimale Performance zu zeigen. Im Unterschied zu bestehenden Synthetik-Eisplatten sind unsere mit angeschwemmtem Meeresplastik angereichert. Das dritte Produkt ist ein spezieller Puck aus einer Kunststoff-Gummi-Mischung. Herkömmliche Pucks sind für Kunsteis unbrauchbar.

Woher kommt das Meeresplastik?

Eingesammelt wird es an den Stränden in Südostasien, wo es sortiert, gereinigt und aufbereitet wird. Es wird dann über Rotterdam mit dem Schiff zu unserem Oceanice- Produzenten Murdotec in Deutschland geliefert.

In Rapperswil ist aktuell bereits ein grosses Feld in Betrieb. Wie nachhaltig ist so eine Anlage tatsächlich? Mit dem Recycling ist das ja immer so eine Sache. Oft sind da nur zehn bis 20 Prozent beigemischt.

Kunststoff ist ein schwieriges Thema im Moment. Die Menschen wissen zu wenig darüber. Dieser Thermoplast ist ein fantastisches Material und wird in der Lebensmittelindustrie und an vielen Orten weltweit eingesetzt. Im Meer hat das nichts zu suchen und genau das wollen wir angehen. Unsere Mischung ist Betriebsgeheimnis, liegt jedoch bei weitaus mehr als 20 Prozent. Wir werden in den nächsten Jahren mit dem Zurücknehmen alter Flächen den Anteil von 60 Prozent übersteigen. Um die Stabilität und Prozesssicherheit zu gewährleisten, sind wir gezwungen, auch neuen Kunststoff beizumischen.

Die Entwicklung in diesem Bereich schreitet rasant vorwärts. What’s next?

Die nächsten Projekte werden in Richtung Profitrainingscenter gehen, als Erstes wird eines in Langnau umgesetzt. Momentan sind wir mit diversen Proficlubs im In- und Ausland in Verhandlung. Zudem fokussieren wir uns zurzeit vor allem auf ein «Hockey-Mom»-Package.

Was müssen wir uns darunter vorstellen?

Wir bieten kleinere Kunsteis-Platten für den Hausgebrauch an. Für 5000 Franken kriegt man ein paar Quadratmeter Spielfläche, unsere Sharkblades-Kufen und den speziellen Puck. Dafür kann man zwölf Monate pro Jahr trainieren, wann immer man will. Wer schon mal ambitioniert Hockey gespielt hat, weiss, dass einem das bereits im ersten Jahr viel Geld spart.

Un samedi soir à Zurich. Le ZSC reçoit le SC Berne. La Swiss Life Arena, pleine à craquer, tremble. Les spectateurs s’apprêtent à voir un match de hockey sur glace qui va se dérouler sur du… plastique. Un scénario réaliste?

Riccardo Signorell: Oui, absolument, même si cela nécessitera encore quelques années de développement. Au début, je peux m’imaginer que seuls les juniors et les ligues inférieures utiliseront cette surface comme terrain de jeu, en plus de l’entraînement. Une ligue de hockey d’été pourrait en outre bientôt voir le jour. Nos produits créent des possibilités sans précédent pour faire vivre mon sport préféré dans le monde entier. Il est en revanche difficile de dire, pour l’instant, si les professionnels y joueront leurs matches.

Vous avez joué au hockey sur glace au plus haut niveau pendant des décennies. Maintenant, vous construisez des patinoires artificielles. Pourquoi? Est-ce une question de durabilité ou de pragmatisme?

En construisant des patinoires artificielles, nous démocratisons le hockey sur glace. J’ai grandi à côté d’une patinoire et, en hiver, j’ai passé chaque minute de mon temps libre sur la glace. Si j’avais disposé de cette surface dans ma cave ou mon garage pour pouvoir m’améliorer encore davantage quand j’étais enfant, j’aurais été au septième ciel. De telles surfaces permettent de créer un immense potentiel d’entraînement dans des espaces réduits. De plus, ma femme et moi sommes extrêmement intéressés à participer de manière plus consciente et plus holistique à la conception du monde de demain. Dans ce contexte, la durabilité n’est pas simplement un terme à la mode, c’est un programme.

Le fait qu’il soit possible de remplacer la glace par du plastique n’est pas nouveau. Qu’est-ce qui rend votre produit unique?

Il s’agit en réalité de trois nouvelles inventions qui se complètent. Au tout début, nous avons bricolé de nouveaux patins, dont le premier prototype nous avait déjà permis de nous déplacer comme sur de la glace. En fait, ce sont nos Sharkblades interchangeables qui nous ont amenés à nous intéresser de près à la glace synthétique. D’innombrables tests avec des joueurs professionnels, y compris de la NHL, ont montré que les deux produits devaient être en symbiose pour offrir une performance optimale. Contrairement aux plaques de glace synthétiques existantes, les nôtres sont enrichies de plastique marin échoué. Le troisième produit est un palet spécifique, composé d’un mélange de plastique et de caoutchouc, car les palets traditionnels sont inutilisables sur la glace artificielle.

D’où vient le plastique marin?

Il est collecté sur les plages d’Asie du Sud-Est, où il est trié, nettoyé et traité. Il est ensuite acheminé par bateau via Rotterdam vers Murdotec, le producteur allemand d’Oceanice.

Une grande patinoire est déjà en service à Rapperswil. Quelle est la durabilité réelle d’une telle installation, sachant que les produits recyclés ne comptent généralement que 10 à 20% de matière recyclée?

Le plastique est un sujet d’actualité très sensible, que la plupart des gens méconnaissent pourtant. Le thermoplastique est un matériau fantastique, utilisé dans l’industrie alimentaire et dans de nombreux endroits du monde, mais il n’a rien à faire dans la mer. C’est précisément à ce problème que nous voulons nous attaquer. Notre mélange est bien évidemment un secret de fabrication, mais nous sommes au-dessus des 20% de plastique recyclé. Et, dans les années à venir, nous dépasserons les 60% grâce aux anciennes surfaces réutilisées. Pour garantir la stabilité et la sécurité du processus, nous sommes en revanche obligés d’intégrer un peu de plastique neuf.

L’évolution dans ce domaine est fulgurante. Quelles sont les prochaines étapes?

On se dirige vers des centres d’entraînement professionnels, le premier étant celui de Langnau. Actuellement, nous sommes en négociation avec plusieurs clubs professionnels en Suisse et à l’étranger. Nous nous concentrons en outre sur un package «hockey-mom».

De quoi s’agit-il?

Nous proposons de petites plaques de glace artificielle destinées à un usage domestique. Pour 5000 francs, on obtient quelques mètres carrés de surface de jeu, nos lames Sharkblades et un puck spécial. Grâce à ça, on peut s’entraîner quand on le souhaite, 12 mois par an. Ceux qui ont déjà eu des ambitions dans le hockey savent que cela permet d’économiser beaucoup d’argent dès la première année.

Un sabato sera a Zurigo. Gli ZSC affrontano il Berna. La Swiss Life Arena è gremita e la tensione è palpabile. Lo sport si chiama «hockey su ghiaccio» ma la superficie di gioco è ormai fatta di plastica. Uno scenario realistico?

Riccardo Signorell: Sì, certamente anche se ci vorranno ancora un paio d’anni di sviluppo. Inizialmente penso che solo gli juniori e le leghe inferiori utilizzeranno questo tipo di superficie dapprima per gli allenamenti e in seguito per le partite. Però in breve tempo potrebbe svilupparsi una Summer Hockey League. I nostri prodotti permettono di sfruttare opportunità mai viste prima per dare nuova linfa al mio sport preferito in ogni angolo del mondo. Per ora è difficile dire se alla fine anche i professionisti giocheranno le loro partite su Oceanice.

Lei ha giocato a hockey ai massimi livelli per decenni. Ora si dedica a costruire piste di ghiaccio sintetico. Perché? Si tratta di sostenibilità o di pragmatismo?

Grazie alla costruzione di piste di ghiaccio sintetico democratizziamo l’hockey su ghiaccio. Sono cresciuto accanto a una pista e trascorrevo ogni minuto libero sul ghiaccio. Se da bambino avessi avuto una di questa nuove superfici in cantina o in garage per i miei allenamenti Skills & Repetition sarei stato al settimo cielo. Questi nuovi materiali hanno un immenso potenziale di allenamento anche su superfici molto ridotte. Inoltre, mia moglie e io lavoriamo con impegno per far sì che il mondo di domani sia più consapevole e olistico. La sostenibilità non è solo un termine alla moda ma un programma a lungo termine.

La possibilità di sostituire il ghiaccio naturale con una materia plastica non è nuova. Cosa c’è di nuovo nel vostro prodotto?

Si tratta in realtà di tre nuove scoperte strettamente legate l’una all’altra. Inizialmente ci siamo concentrati sullo sviluppo di nuovi pattini e in breve tempo abbiamo potuto pattinare con i primi prototipi proprio come avremmo fatto sul ghiaccio. Sono quindi proprio i nostri Sharkblades interscambiabili i responsabili del nostro intenso impegno per lo sviluppo di un ghiaccio sintetico. Innumerevoli test con giocatori professionisti, provenienti anche dalla NHL, hanno mostrato che i due prodotti devono essere in perfetta simbiosi per poter offrire una performance ottimale. A differenza delle attuali superfici sintetiche, le nostre sono create con microplastiche ripescate dai mari. Il terzo prodotto è uno speciale puck a base di plastica e gomma. I classici dischi sono inutilizzabili sul ghiaccio sintetico.

Da dove proviene la microplastica?

Viene raccolta lungo le spiagge dell’Asia sudorientale dove viene anche separata, pulita e preparata. Viene poi trasportata via nave passando da Rotterdam fino al centro produttivo di Oceanice Murdotec in Germania.

A Rapperswil è attualmente in uso una grande pista in Oceanice. Quanto è davvero sostenibile l’impianto? Con il riciclaggio è sempre la stessa storia: la parte davvero riciclata ammonta al massimo al 10-20 per cento.

La plastica è un tema complesso al momento. Le persone sanno semplicemente troppo poco sull’argomento. Questa termoplastica è un materiale fantastico e viene utilizzata in tutto il mondo nell’industria alimentare e in tanti altri settori. Non dovrebbe mai avere nulla a che fare con il mare e miriamo a far sì che resti sempre così. Il nostro mix è un segreto professionale ma la percentuale di plastica riciclata ammonta a ben più del 20 per cento. Nei prossimi anni, grazie al ritiro delle superfici ormai vecchie, la percentuale supererà il 60 per cento. Per garantire la stabilità e la sicurezza del processo siamo però obbligati a utilizzare anche plastica nuova.

Gli sviluppi in questo campo avanzano a ritmo incalzante. Qual è il prossimo passo?

Il prossimo progetto sarà in direzione di un centro di allenamento per professionisti e il primo sorgerà a Langnau. Al momento siamo in trattativa con diverse società professionistiche in Svizzera e all’estero. Inoltre attualmente ci concentriamo soprattutto su un «Hockey Mom Package».

Di cosa si tratta?

Offriamo una piccola superficie in ghiaccio sintetico per uso domestico. Per 5000 franchi si ricevono un paio di metri quadrati di superficie di gioco, un paio di pattini Sharkblade e un puck speciale. In questo modo è possibile allenarsi per dodici mesi all’anno, ogni volta che si vuole. Chi ha già giocato a hockey con una qualche ambizione sa bene che l’investimento viene facilmente ripagato già nel primo anno.

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Première publication: 
1.12.2023
  | Dernière mise à jour: 
29.12.2023
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