L'îlot de chaleur. A priori, cela ne semble pas être une mauvaise chose. Il s'agit toutefois d'endroits qui, en raison de leur nature, se réchauffent particulièrement en été. Photo : Marion Nitsch/Lunax
Wärmeinsel. Das klingt erst einmal nicht nach etwas Schlechtem. Gemeint sind damit allerdings Orte, die sich im Sommer aufgrund ihrer Beschaffenheit besonders aufheizen. Foto: Marion Nitsch/Lunax
De prime abord, le terme «îlot de chaleur» n’évoque pas forcément quelque chose de négatif. Il s’agit pourtant d’un endroit qui, en raison de sa nature, surchauffe tout particulièrement en été. Photo: Marion Nitsch/Lunax
Ce que les villes peuvent faire contre les journées et les nuits chaudes
Was Städte gegen heisse Tage und Nächte tun können
Comment Zurich lutte contre la surchauffe
Calde, bollenti giornate estive a Zurigo
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En été, les villes sont de véritables îlots de chaleur. La ville de Zurich ne fait pas exception. Une exposition montre comment la ville entend lutter contre ce phénomène.
Städte sind im Sommer regelrechte Hitzeinseln. Auch die Stadt Zürich. Eine Ausstellung zeigt, wie die Stadt dagegen ankämpfen will.
Le nombre de jours de canicule et de nuits tropicales augmente partout, mais surtout en milieu urbain. Lors d’une exposition, la ville de Zurich montre ce qu’elle compte faire pour limiter ce phénomène en nette augmentation.
Il numero di giornate di calura e notti tropicali aumenta sempre più, soprattutto nelle città. Un’esposizione mostra come Zurigo contrasta la crescente calura in città.
Les températures moyennes augmentent. Et cela est particulièrement sensible dans les villes. Ceux qui vivent à Zurich, par exemple, ressentent personnellement que la ville devient de plus en plus chaude à chaque été. En plein été, l'asphalte continue souvent de dégager de la chaleur des heures après le coucher du soleil. Dans le lac, les algues dues à la chaleur poussent de plus en plus tôt. Et selon l'appartement, l'heure d'été ne peut être supportée qu'avec un ventilateur.
Ce n'est pas une vue de l'esprit : les villes - et Zurich n'est de loin pas la seule - deviennent des îlots de chaleur ou de chaleur en été. Le béton, les façades en verre et le manque d'ombre y contribuent. Ce n'est pas seulement désagréable, cela peut aussi être dangereux pour certains groupes de population. Et coûteux pour tous, car rafraîchir coûte de l'argent.
Le Hardbrücke ou la Herdernstrasse près du stade du Letzigrund, à peine ombragée, sont des exemples d'endroits zurichois qui deviennent particulièrement chauds en été.
Dans l'exposition "Cool Down Zürich", le service des espaces verts de la ville montre jusqu'à fin mai 2023 ce qui permet de lutter contre la chaleur urbaine et les mesures prises par la ville de Zurich. Selon une porte-parole de Grün Stadt Zürich environ 11'000 personnes ont déjà visité l'exposition.
1. plantes
Les espaces verts et les arbres sont des climatiseurs quasi naturels. Rien ne rafraîchit et ne fait de l'ombre aussi bien que les arbres. Et les espaces verts ne se réchauffent jamais autant que l'asphalte ou le béton. Les toitures-terrasses végétalisées peuvent également apporter une contribution importante, comme le jardin sur le toit du Toniareal. De plus, les espaces verts favorisent la biodiversité et améliorent la qualité de vie des habitants de la ville.
2. l'eau
Là où il n'est pas possible de planter des arbres, l'eau doit apporter le rafraîchissement nécessaire. Outre la Limmat et le lac, Zurich dispose de 1200 fontaines. L'eau qui s'évapore assure un climat urbain plus agréable les jours de grande chaleur. Les espaces verts stockent également de l'eau.
3. ombre
Si vous vous promenez en ville ces jours-ci, vous constaterez que d'innombrables jeunes arbres viennent d'être plantés. L'objectif est d'éviter que le revêtement des rues ne devienne extrêmement chaud grâce à l'ombre des arbres. Là où de nombreuses personnes se déplacent à pied, la ville veut fournir de l'ombre supplémentaire. Le site surface de la canopée zurichoise doit passer de 17% à 25%.
4. surfaces
Les surfaces claires ne chauffent pas autant que les surfaces sombres. Cela s'explique par le fait que les surfaces claires réfléchissent une partie du rayonnement solaire. Or, ceux qui vivent en ville voient surtout beaucoup de ceci : de l'asphalte et du béton sombres. Une partie interactive de l'exposition montre que les surfaces sombres s'échauffent à plus de 50 degrés en cas de fort rayonnement solaire. La ville de Zurich veut désormais s'en affranchir dans la mesure du possible et miser sur des surfaces claires, comme sur la Sechseläutenplatz.
5. courants d'air froid
En hiver, on aimerait qu'il y ait moins de vent et d'autant plus en été. Il s'agit maintenant d'orienter les nouvelles constructions en ville de manière à ce qu'elles ne fassent pas obstacle aux courants d'air froid existants et qu'elles refroidissent ainsi la ville de manière naturelle.
6. sensibilisation
Sur cet outil de climatologie urbaine on peut voir à quel point la surchauffe est importante dans son propre quartier de Zurich, dans sa propre rue, dans sa propre cour intérieure. La probabilité que le lieu de résidence en ville enregistre plus de nuits tropicales que la moyenne suisse est relativement élevée. L'exposition donne ici aussi des conseils pour les journées et les nuits chaudes. Par exemple : aérer les pièces par les fenêtres pendant la nuit. Fermer les fenêtres avant qu'il ne fasse chaud. Pendant la journée, aérer par la cage d'escalier fraîche.
Le site exposition "Cool Down Zürich" au Stadtgärtnerei est encore ouverte jusqu'au 29 mai 2023. Il est également recommandé de faire la promenade autoguidée promenade "Unterwegs zum Thema Hitzeminderung" (en route vers le thème de la réduction de la chaleur).
À ce propos : quelles sont les mesures de réduction de la chaleur prises par les autres villes suisses ? Nous avons posé la question. Les réponses seront bientôt disponibles ici : #NOUSSOMMESLEFUTUR.
Die Durchschnittstemperaturen steigen. Und in Städten ist das besonders spürbar. Wer etwa in Zürich lebt, spürt am eigenen Leibe, dass die Stadt mit jedem Sommer heisser wird. Im Hochsommer strahlt der Asphalt oft auch Stunden nach Sonnenuntergang noch Hitze ab. Im See wachsen die wärmebedingten Algen früher und früher. Und je nach Wohnung lässt sich die Sommerzeit nur noch mit Ventilator ertragen.
Das ist keine Einbildung: Städte – und damit ist Zürich bei weitem nicht die einzige – werden im Sommer zu Wärme- oder Hitzeinseln. Dafür sorgen Beton, Glasfassaden und wenig Schatten. Das ist nicht nur unangenehm, sondern kann für gewisse Bevölkerungsgruppen auch gefährlich werden. Und teuer für alle, denn Kühlen kostet Geld.
Beispiele für Zürcher Orte, die im Sommer besonders heiss werden, sind etwa die Hardbrücke oder die kaum beschattete Herdernstrasse beim Stadion Letzigrund.
Die Stadtgärtnerei zeigt in der Ausstellung «Cool Down Zürich» noch bis Ende Mai 2023, was gegen die Stadthitze hilft und welche Massnahmen die Stadt Zürich ergreift. Laut einer Sprecherin von Grün Stadt Zürich haben bereits rund 11’000 Menschen die Ausstellung besucht.
1. Pflanzen
Grünflächen und Bäume sind quasi natürliche Klimaanlagen. Nichts kühlt und beschattet so gut wie Bäume. Und Grünflächen heizen sich niemals so extrem auf wie Asphalt oder Beton. Auch begrünte Dachterrassen können einen wichtigen Beitrag leisten, wie etwa der Dachgarten des Toniareals. Zusätzlich fördern Grünflächen die Biodiversität und verbessern die Lebensqualität für die Bewohnerinnen und Bewohner der Stadt.
2. Wasser
Wo keine Bäume gepflanzt werden können, soll Wasser für die nötige Abkühlung sorgen. Neben der Limmat und dem See verfügt Zürich über 1200 Brunnen. Das verdunstende Wasser sorgt für ein angenehmeres Stadtklima an heissen Tagen. Auch Grünflächen speichern Wasser.
3. Schatten
Wer in diesen Tagen durch die Stadt spaziert, stellt fest, dass gerade unzählige junge Bäume gepflanzt wurden. Das Ziel ist, dass sich diese Strassenbeläge durch den Schatten der Bäume gar nicht erst so extrem aufheizen. Wo viele Menschen zu Fuss unterwegs sind, will die Stadt für zusätzlichen Schatten sorgen. Die Zürcher Baumkronenfläche soll von heute 17 auf 25 Prozent erhöht werden.
4. Oberflächen
Helle Oberflächen werden nicht so heiss wie dunkle. Das hat damit zu tun, dass helle Oberflächen einen Teil der Sonnenstrahlung reflektieren. Nun, wer in der Stadt wohnt, sieht vor allem hiervon viel: dunkler Asphalt und Beton. Ein interaktiver Teil der Ausstellung zeigt, dass sich dunkle Oberflächen bei starker Sonneneinstrahlung auf weit über 50 Grad erhitzen. Davon will die Stadt Zürich nun, wo immer möglich, wegkommen und auf helle Oberflächen setzen, wie etwa auf dem Sechseläutenplatz.
5. Kaltluftströme
Im Winter wünscht man sich weniger Wind und im Sommer dafür umso mehr. Nun sollen Neubauten in der Stadt so ausgerichtet werden, dass sie den vorkommenden Kaltluftströmen nicht im Wege stehen und damit die Stadt auf natürliche Weise kühlen.
6. Sensibilisierung
Auf diesem Stadtklimatool kann man einsehen, wie hoch die Überwärmung im eigenen Zürcher Quartier, in der eigenen Strasse, im eigenen Innenhof ist. Die Wahrscheinlichkeit, dass der Wohnort in der Stadt mehr Tropennächte als im schweizerischen Mittel verzeichnet, ist relativ hoch. Die Ausstellung gibt auch hier Tipps für heisse Tage und Nächte. Etwa: Räume in der Nacht über Fenster lüften. Fenster schliessen, bevor es heiss wird. Während des Tages über das kühle Treppenhaus lüften.
Die Ausstellung «Cool Down Zürich» in der Stadtgärtnerei ist noch bis 29. Mai 2023 offen. Empfehlenswert ist auch der selbstgeführte Spaziergang «Unterwegs zum Thema Hitzeminderung».
Apropos: Welche Hitzeminderungs-Massnahmen ergreifen eigentlich andere Schweizer Städte? Wir haben nachgefragt. Die Antworten gibt es bald an dieser Stelle: #WIRSINDZUKUNFT.
Les températures moyennes augmentent. Les villes sont tout particulièrement touchées par ce phénomène. Les habitants de Zurich, par exemple, ressentent chaque été cette hausse du mercure. D’autant plus que l’asphalte continue souvent de dégager de la chaleur des heures après le coucher du soleil. Dans certains appartements, le ventilateur devient obligatoire, alors que, dans le lac, les algues qui poussent sous l’effet de la chaleur apparaissent de plus en plus précocement.
Simple vue de l’esprit? Pas du tout. Les villes – Zurich n’est de loin pas la seule – deviennent des îlots de chaleur en été. Le béton, les façades en verre et le peu d’ombre à disposition y contribuent. Si cette chaleur est parfois désagréable, elle peut aussi se montrer dangereuse pour une partie de la population. Et elle est en plus onéreuse, car rafraîchir représente un coût pour la collectivité.
Le Hardbrücke et la Herdernstrasse, près du stade du Letzigrund, à peine ombragés, sont des exemples d’endroits à Zurich qui deviennent particulièrement chauds en été.
Dans le cadre de l’exposition «Cool Down Zürich» (à voir jusqu’à fin mai), le service des espaces verts de la ville revient sur ce qui aide à lutter contre la chaleur urbaine et sur les mesures mises en place par la ville de Zurich. Selon une porte-parole de Grün Stadt Zürich, environ 11 000 personnes ont déjà visité cette exposition. Retour sur quelques points intéressants qu’elle soulève…
1. Les plantes
Les végétaux sont des climatiseurs naturels. Rien ne rafraîchit et ne fait de l’ombre aussi bien que les arbres. Et les espaces verts ne se réchauffent jamais de manière aussi extrême que l’asphalte ou le béton. Les terrasses végétalisées présentes sur les toits peuvent également apporter une importante contribution, à l’instar du jardin sur le toit du Toniareal. De plus, les espaces verts favorisent la biodiversité et améliorent la qualité de vie des habitants des villes.
2. L’eau
Là où il n’est pas possible de planter des arbres, l’eau doit compenser en apportant la fraîcheur nécessaire. Outre la Limmat et le lac, Zurich dispose de 1200 fontaines. L’eau qui s’évapore rend le climat urbain plus agréable durant les périodes de grandes chaleurs. Les espaces verts stockent également ce liquide.
3. L’ombre
Si l’on se promène en ville ces jours-ci, on constate que d’innombrables jeunes arbres viennent d’être plantés. L’objectif est qu’ils apportent de l’ombre, afin d’éviter que le revêtement des rues ne chauffe trop. La ville veut fournir de l’ombre supplémentaire là où les piétons évoluent en nombre. Il est prévu que la surface de la canopée zurichoise passe de 17 à 25 %.
4. Les surfaces
Chaque enfant sait que les surfaces claires, qui réfléchissent une partie du rayonnement solaire, ne chauffent pas autant que celles qui sont sombres. Or, les habitants des villes sont surtout confrontés à de l’asphalte et du béton sombres. Une partie interactive de l’exposition montre que, lors d’un fort rayonnement solaire, les surfaces sombres chauffent au-delà de 50 degrés. La ville de Zurich veut éviter cela et mise désormais sur des surfaces claires, comme sur la Sechseläutenplatz.
5. Les courants d’air froid
En hiver, on aimerait qu’il y ait moins de vent, mais en été, celui-ci se fait raîchissant. Pour bénéficier de ce refroidissement naturel, les nouvelles constructions urbaines doivent être orientées de telle sorte qu’elles n’empêchent pas les courants d’air froid existants.
6. La sensibilisation
Sur cet outil de climat urbain, on peut voir à quel point la surchauffe est importante en ville de Zurich, que ce soit au sein d’un quartier, d’une rue ou même d’une cour intérieure. La probabilité qu’un logement situé en milieu urbain soit confronté à davantage de nuits tropicales que la moyenne suisse est relativement élevée. C’est pourquoi l’exposition donne aussi des conseils pour mieux gérer les journées et les nuits où il y a de fortes chaleurs. Quelques exemples? Ouvrir les fenêtres durant la nuit pour aérer les pièces, les fermer avant qu’il ne fasse trop chaud ou, pendant la journée, profiter de la fraîcheur de la cage d’escalier en ouvrant la porte qui y donne accès.
L’exposition «Cool Down Zürich», au Stadtgärtnerei, est à découvrir jusqu’au 29 mai 2023. On ne peut que recommander la visite autoguidée «En route vers le thème de la réduction de la chaleur».
Au fait, quelles sont les mesures de réduction de la chaleur prises par les autres villes suisses? Nous nous sommes renseignés. Les réponses seront bientôt disponibles sur #NOUSSOMMESLEFUTUR.
Le temperature medie aumentano. È percepibile in particolare nelle città. Chi vive a Zurigo lo vive sulla propria pelle: ogni estate che passa, la città diventa sempre più calda. Nel bel mezzo dell’estate, l’asfalto rilascia calore anche diverse ore dopo il calar del sole. Nel lago, le alghe che crescono con il calore arrivano sempre prima. E in alcuni appartamenti la calura è sopportabile solo se c’è un ventilatore acceso.
Non è solo immaginazione: le città, e Zurigo non è quindi l’unica, in estate diventano vere e proprie isole di calore. Tra i responsabili troviamo l’asfalto, le facciate in vetro e la mancanza di ombra. Il calore non è solo fastidioso: può essere addirittura pericoloso per le fasce più vulnerabili della popolazione. E costa caro a tutti: rinfrescare gli ambienti non è gratis.
Come esempi di luoghi a Zurigo che diventano particolarmente bollenti possiamo citare il quartiere di Hardbrücke o il viale non alberato della Herdernstrasse vicino alla stazione Letzigrund.
Fino alla fine di maggio nel vivaio comunale, l’esposizione «Cool Down Zürich» mostra cosa può essere fatto contro la calura in città e quali misure vengono attuate dalla città di Zurigo. Secondo una portavoce di Grün Stadt Zürich, circa 11 000 persone hanno già visitato la mostra.
1. Piante
Le superfici verdi e gli alberi sono quasi dei climatizzatori naturali. Nulla rinfresca e ombreggia meglio di un albero. E le superfici verdi non si riscaldano mai in modo estremo quanto l’asfalto o il cemento. Anche i tetti e le terrazze verdi possono dare un contributo importante come ad esempio il giardino pensile della Toniareal. Inoltre, le superfici verdi promuovono la biodiversità e migliorano la qualità di vita degli abitanti della città.
2. Acqua
Dove non possono essere piantati alberi, può essere l’acqua a occuparsi di rinfrescare l’ambiente. Lungo la Limmat e in riva al lago, Zurigo dispone di oltre 1200 fontane. L’acqua che evapora garantisce un clima urbano più piacevole durante le giornate calde. Anche le superfici verdi immagazzinano acqua.
3. Ombra
Chi passeggia per le strade della città in questi giorni può constatare che sono stati piantati tantissimi giovani alberi. L’obiettivo è far sì che il manto stradale non si surriscaldi in modo così estremo grazie all’ombra degli alberi. Laddove il traffico pedonale è più intenso, la città vuole far sì che ci sia più ombra a disposizione. La superficie della corona degli alberi zurighesi dovrà aumentare dall’odierno 17 per cento fino al 25 per cento.
4. Superfici
Anche i bambini sanno che le superfici più chiare si scaldano meno di quelle scure. Questo è dovuto al fatto che le superfici chiare riflettono una parte dell’irraggiamento solare. Chi vive in città sa bene che le superfici scure sono però predominanti: asfalto e cemento neri. Una parte interattiva dell’esposizione mostra che in caso di forte irraggiamento la temperatura delle superfici scure arriva a ben oltre 50 gradi. La città di Zurigo ha quindi deciso di cambiare laddove possibile e puntare su superfici chiare come ad esempio sulla Sechseläutenplatz.
5. Correnti d’aria fredda
In inverno vorremmo che ci fosse meno vento e in estate che ce ne fosse di più. Ora i nuovi edifici della città verranno edificati in modo di non bloccare le correnti fredde: così la città potrà rinfrescarsi in modo naturale.
6. Sensibilizzazione
Grazie a questo strumento per il clima urbano, è possibile vedere quanto sia elevato il surriscaldamento nei singoli quartieri di Zurigo, sulla propria via o nel proprio cortile. La probabilità che un appartamento in città viva più notti tropicali rispetto alla media svizzera è relativamente elevata. Anche in questo caso, la mostra dà qualche consiglio per contrastare giorni e notti di calura. Ad esempio: arieggiare le stanze di notte aprendo tutte le finestre. Chiudere le finestre prima che diventi caldo. Durante il giorno, sfruttare l’aria fresca della tromba delle scale.
L‘esposizione «Cool Down Zürich» si tiene nel vivaio comunale ed è aperta fino al 29 maggio 2023. Raccomandiamo in particolare di partecipare alla passeggiata autoguidata dal titolo «Unterwegs zum Thema Hitzeminderung».
A proposito: quali misure adottano le altre città svizzere contro il surriscaldamento urbano? Ci siamo informati. La risposta verrà pubblicata presto in questa rubrica: #NOISIAMOILFUTURO.