Ton propre patron : avec cette formation, les jalons sont posés pour ta propre start-up
Dein eigener Chef: Mit dieser Ausbildung sind die Weichen für dein eigenes Start-up gestellt
Deviens ton propre patron: avec ces formations, les bases sont posées pour fonder ta propre start-up
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Les start-ups innovantes de l'industrie tech développent des solutions inédites qui profitent à l'environnement et sont demandées sur le marché. L'industrie suisse contribue ainsi à une économie tournée vers l'avenir. Une formation dans le domaine technique est le premier pas vers le succès.
Innovative Start-ups aus der Tech-Industrie entwickeln neuartige Lösungsansätze, die der Umwelt nützen und am Markt gefragt sind. So trägt die Schweizer Industrie zu einer zukunftsorientierten Wirtschaft bei. Eine Ausbildung im technischen Bereich ist der erste Schritt zum Erfolg.
Les start-ups innovantes de l’industrie technologique développent des solutions inédites, qui sont bénéfiques pour l’environnement et très demandées sur le marché. L’industrie suisse contribue ainsi à une économie tournée vers l’avenir. Une formation dans le domaine technique est le premier pas vers le succès.
La Suisse est connue pour ses innovations. Chaque année, environ 400 start-ups voient le jour - dont une centaine sont des spin-offs universitaires directes. Nombre d'entre elles développent des solutions dans le domaine des cleantech, qui sont aujourd'hui plus demandées que jamais. Pour développer des solutions prometteuses, les connaissances techniques sont fondamentales. En effet, ce n'est qu'en comprenant comment aborder les défis d'un secteur d'une manière nouvelle que l'on peut faire avancer le développement durable et résoudre ainsi nos problèmes énergétiques et environnementaux.
Révolutionner au lieu de gaspiller
Le succès d'une start-up dépend de plusieurs facteurs. Matthew Reali, fondateur de "Ponera", un système d'emballage réutilisable révolutionnaire, le sait bien : "Il faut de la persévérance et la volonté de s'attaquer sans cesse aux problèmes". En tant que facteur moteur, l'innovation n'est jamais terminée et doit être améliorée en permanence.
Avec "Ponera", sa start-up produit des emballages que l'on peut utiliser longtemps et assembler en différentes tailles en fonction de leur utilisation. Un peu comme des briques de Lego. Le concept permet une économie circulaire. Les éléments de construction sont composés à 100 pour cent de plastique recyclé et sont jusqu'à 60 pour cent plus légers que les emballages traditionnels.
Auparavant, Matthew Reali était employé par une entreprise technologique. Ses connaissances technologiques lui ont donné l'idée de créer une start-up et l'ont aidé à convaincre les investisseurs.
Dix fois plus efficace sur le plan énergétique
Selon les experts, seule une start-up sur dix connaît un succès durable - la plupart des start-up en Suisse échouent au cours des cinq premières années. Un bagage technique, comme celui qu'offrent entre autres les dix professions techniques, aide à développer et à perfectionner un produit.
Florian Hänni est ingénieur en mécanique et a fondé en 2017 avec Thomas Sigrist l'entreprise "G-Elements", qui fabrique des rectifieuses de précision d'un nouveau genre. L'équipe a remis en question l'agencement traditionnel des axes et a trouvé une meilleure solution en mettant littéralement les rectifieuses sens dessus dessous.
Les machines de "G-Elements" sont dix fois plus efficaces sur le plan énergétique que tout ce qui est disponible sur le marché jusqu'à présent, explique Hänni : "Le ponçage est devenu plus simple et fait gagner du temps. Les machines ont besoin de moins de surface au sol et la clientèle peut changer elle-même toutes les pièces d'usure en quelques minutes". Selon lui, la compréhension technique approfondie des fondateurs a contribué de manière déterminante au succès de la start-up.
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Die Schweiz ist bekannt für ihre Innovationen. Jedes Jahr entstehen rund 400 Start-ups – davon etwa 100 als direkte akademische Spin-offs. Viele von ihnen entwickeln Lösungen im Cleantech-Bereich, die heute mehr denn je gefragt sind. Um erfolgversprechende Lösungen zu entwickeln, ist technisches Wissen fundamental. Denn nur wer versteht wie die Herausforderungen einer Branche auf neue Art angepackt werden können, kann eine nachhaltige Entwicklung vorantreiben und damit unsere Energie- und Umweltprobleme lösen.
Revolutionieren statt verschwenden
Ob ein Start-up erfolgreich ist, hängt von diversen Faktoren ab. Das weiss auch Matthew Reali, Gründer von «Ponera», einem revolutionären wiederverwendbaren Verpackungssystem: «Es braucht Durchhaltevermögen und den Willen, Probleme immer wieder anzupacken». Innovation sei als treibender Faktor nie fertig und müsse ständig verbessert werden.
Mit «Ponera» produziert sein Start-up Verpackungen, die man lange nutzen und je nach Zweck in verschiedenen Grössen zusammenbauen kann. Ähnlich wie Legosteine. Das Konzept ermöglicht eine Kreislaufwirtschaft. Die Bauteile bestehen aus 100 Prozent recyceltem Kunststoff und sind bis zu 60 Prozent leichter als herkömmliche Verpackungen.
Früher war Matthew Reali bei einer Technologiefirma angestellt. Sein technologisches Wissen brachte ihn überhaupt erst auf die Idee, ein Start-up zu gründen und half ihm bei der Überzeugung der Investoren.
Zehnmal so energieeffizient
Nur eines von zehn Start-ups werde nachhaltig erfolgreich, sagen Experten – die meisten Start-ups in der Schweiz scheitern in den ersten fünf Jahren. Ein technischer Hintergrund, wie ihn unter anderem die 10 technischen Berufe bieten, hilft bei der Entwicklung und Weiterentwicklung eines Produktes.
Florian Hänni ist Maschinenbauingenieur und gründete 2017 gemeinsam mit Thomas Sigrist die Firma «G-Elements», die neuartige Präzisionsschleifmaschinen herstellt. Das Team hinterfragte die herkömmliche Achsenanordung und fand eine bessere Lösung, indem Schleifmaschinen buchstäblich auf den Kopf gestellt wurden.
Die Maschinen von «G-Elements» seien dabei zehnmal energieeffizienter als alles, was bisher auf dem Markt verfügbar ist, sagt Hänni: «Das Schleifen ist einfacher und zeitsparender geworden. Die Maschinen brauchen weniger Standfläche und die Kundschaft kann alle Verschleissteile innerhalb weniger Minuten selbst wechseln.» Das vertiefte technische Verständnis der Gründer habe massgeblich zum Erfolg des Start-ups beigetragen.
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La Suisse est connue pour ses innovations. Environ 400 start-ups sont créées chaque année, dont une centaine sont des spin-offs universitaires directes. Nombre d’entre elles développent des solutions dans le domaine des cleantech, qui sont aujourd’hui plus demandées que jamais. Pour développer des solutions prometteuses, des connaissances techniques sont essentielles. En effet, ce n’est qu’en comprenant comment relever les défis d’un secteur d’une manière nouvelle que l’on peut faire avancer le développement durable et résoudre ainsi les problèmes énergétiques et environnementaux.
Révolutionner plutôt que gaspiller
Le succès d’une start-up dépend de plusieurs facteurs. Matthew Reali, fondateur de Ponera, un système révolutionnaire d’emballages réutilisables, le sait bien: «Il faut de la persévérance et la volonté de s’attaquer sans cesse aux problèmes». Ce qui le pousse à aller toujours plus loin, c’est que l’innovation n’est jamais terminée et doit être améliorée en permanence.
Ponera construit des emballages qui peuvent être utilisés longtemps et assemblés dans plusieurs tailles en fonction de leur usage. Un peu comme des briques Lego. Ce concept permet de mettre en place une économie circulaire. Les composants sont 100% en plastique recyclé et sont jusqu’à 60% plus légers que les emballages traditionnels.
Auparavant, Matthew Reali travaillait pour une entreprise technologique. Ses connaissances techniques lui ont donné l’idée de créer une start-up et l’ont aidé à convaincre les investisseurs.
Dix fois plus efficace sur le plan énergétique
Selon les experts, seule une start-up sur dix connaît un succès durable; la plupart des start-up en Suisse échouent au cours des cinq premières années. Une formation technique, comme celle qu’offrent les professions dans le domaine de la tech, aide énormément à développer et à perfectionner un produit.
Florian Hänni est ingénieur en mécanique. En 2017, il a fondé, avec Thomas Sigrist, l’entreprise G-Elements, qui fabrique des ponceuses de précision d’un nouveau genre. L’équipe a remis en question l’ordre traditionnel des axes et a trouvé une meilleure solution en retournant littéralement les ponceuses.
Les machines de G-Elements sont dix fois plus efficaces sur le plan énergétique que tout ce qui est disponible sur le marché, explique Florian Hänni: «Le ponçage est devenu plus facile, donc on gagne du temps. Les machines ont besoin de moins de surface de pose et les clients peuvent changer toutes les pièces d’usure en quelques minutes seulement». Selon lui, les compétences techniques approfondies des fondateurs de la société ont contribué de manière déterminante au succès de la start-up.
Tu as toujours voulu être ton propre patron et gagner de l’argent avec des idées durables? Alors informe-toi sur les formations et les formations continues dans l’industrie tech.
