Laisser la tondeuse à gazon de côté. Laisser la pelouse se débrouiller toute seule pendant un mois. Photo : Unsplash

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Ne pas tondre le gazon pendant un mois entier - pour la biodiversité : en Grande-Bretagne, le "No Mow May" a déjà le vent en poupe. La biodiversité suisse profiterait-elle aussi d'une telle action ?

Qu'est-ce que le "No Mow May" ?

Le "No Mow May" est une action qui a été lancée en Grande-Bretagne et qui s'est entre-temps développée au-delà. L'objectif est que les gens ne tondent pas leur pelouse pendant tout le mois de mai. Pendant cette période, les pelouses sont délibérément laissées à elles-mêmes et les fleurs et plantes sauvages ont la possibilité de pousser et de fleurir. L'idée est de créer des habitats pour les insectes, en particulier les insectes pollinisateurs comme les abeilles et les papillons, et de promouvoir la biodiversité.

A quoi sert le "No Mow May" ?

Selon les initiateurs, ne pas tondre est une méthode simple et écologique pour favoriser la biodiversité : En autorisant la présence de fleurs et de plantes sauvages sur les pelouses, on crée des habitats pour les insectes et les petits animaux. Les abeilles et autres insectes pollinisateurs trouvent en outre davantage de sources de nourriture, ce qui peut soutenir leurs populations. De plus, une pelouse non tondue peut absorber plus d'eau, ce qui aide à réguler le ruissellement et les inondations.

La tonte est-elle vraiment si nocive ?

Les pelouses qui sont fréquemment tondues ont une biodiversité plus élevée. une biodiversité plus faible selon une étude canadienne. Cela ne signifie pas nécessairement que la tonte est nuisible en soi. Mais cela signifie qu'une tonte réduite peut apporter de nombreux avantages. Chris Watson, auteur principal de l'étude en question : "Même une réduction modeste de la fréquence de tonte peut apporter de nombreux avantages environnementaux : une activité accrue des pollinisateurs, une plus grande diversité des plantes et une réduction des émissions de gaz à effet de serre. En même temps, une pelouse plus longue entraîne une meilleure résistance aux parasites, aux mauvaises herbes et aux périodes de sécheresse".

Tout d'abord, à quel point le gazon est-il naturel ?

En fait, pas du tout. Le gazon n'existe pas dans la nature. Ce n'est qu'à partir du XVIIe siècle que le gazon bien entretenu et tondu à ras est devenu un symbole de richesse et de luxe. Car celui qui pouvait se permettre d'entretenir une pelouse - qui n'avait en outre aucune fonction concrète, si ce n'est celle d'être belle - ne pouvait être qu'extrêmement riche. Constantin Seibt écrit dans son texte "Plante du pouvoir"Le gazon est une plante absurdement chère et absurdement inutile : elle exige des soins permanents - si le gazon n'est pas régulièrement fertilisé, arrosé, coupé, réensemencé, il meurt ou s'ensauvage immédiatement. En revanche, il n'est d'aucune utilité pour personne : Les animaux ne peuvent pas y paître. Même une poignée d'espèces d'insectes ne peuvent pas y vivre. En bref, le gazon est un produit de luxe parfait. Inconfortable, inutilisable, inabordable, mais visible de loin".

Devrions-nous également tondre moins en dehors du mois de mai ?

Tamson Yeh, une spécialiste américaine des sols, estime que même si le "No Mow May" a de bonnes intentions, l'approche n'est pas nécessairement uniquement bonne. Elle fait valoir qu'il serait serait bien plus utile de tondre moins en généralplutôt que de simplement laisser la tondeuse à gazon au mois de mai. L'étude susmentionnée va également dans ce sens.

Il n'y a pas de "No Mow May" en Suisse. Existe-t-il d'autres actions similaires ?

Mission B est une organisation suisse qui a pour but de promouvoir la biodiversité. Elle a pour objectif de préserver la biodiversité s'est fixé comme objectif. La fauche y joue également un rôle important. Quelques conseils : tondre une à deux fois par an. Ne tondre que lorsque les fleurs sont fanées. Mieux vaut tondre tôt le matin ou tard l'après-midi. Ne pas tout tondre en même temps, mais de manière échelonnée. Laisser les bordures en place.

Je n'ai pas de pelouse. Comment puis-je quand même favoriser la biodiversité ?

La mission B dit : chaque mètre carré compte. Et cela inclut par exemple les balcons ou simplement les rebords de fenêtres. Car c'est justement dans les villes que la biodiversité est souvent en mauvaise posture.

Was ist der «No Mow May»?

Der «No Mow May» ist eine Aktion, die in Grossbritannien ins Leben gerufen wurde und mittlerweile darüber hinaus gewachsen ist. Das Ziel ist, dass Menschen ihre Rasenflächen während des gesamten Monats Mai nicht mähen. Während dieses Zeitraums werden die Rasenflächen bewusst sich selbst überlassen, und Wildblumen und Pflanzen haben die Möglichkeit, zu wachsen und zu blühen. Die Idee ist, Lebensräume für Insekten, insbesondere bestäubende Insekten wie Bienen und Schmetterlinge, zu schaffen und die Biodiversität zu fördern.

Was nützt der «No Mow May»?

Laut den Initianten ist das Nicht-Mähen eine einfache und umweltfreundliche Methode, um die Artenvielfalt zu fördern: Durch das Zulassen von Wildblumen und Pflanzen auf Rasenflächen werden Lebensräume für Insekten und Kleintiere geschaffen. Bienen und andere bestäubende Insekten finden zudem mehr Nahrungsquellen, was ihre Populationen unterstützen kann. Hinzu kommt: Eine ungemähte Rasenfläche kann mehr Wasser aufnehmen und hilft so bei der Regulierung von Wasserabflüssen und Überschwemmungen.

Ist Mähen denn wirklich so schädlich?

Rasenflächen, die häufig gemäht werden, weisen eine tiefere Biodiversität auf, so eine kanadische Studie. Das heisst nicht unbedingt, dass Mähen per se schädlich ist. Es heisst aber, dass reduziertes Mähen viele Vorteile bringen kann. Dr. Chris Watson, Hauptautor besagter Studie: «Selbst eine bescheidene Reduzierung der Häufigkeit des Rasenmähens kann eine Vielzahl von Umweltvorteilen mit sich bringen: gesteigerte Bestäuberaktivität, erhöhte Pflanzenvielfalt und reduzierte Treibhausgasemissionen. Gleichzeitig führt ein längerer Rasen dazu, dass er widerstandsfähiger gegen Schädlinge, Unkraut und Trockenperioden ist.»

Ganz grundsätzlich: Wie natürlich ist Rasen eigentlich?

Eigentlich gar nicht. Rasen kommt in der Natur nicht vor. Der gepflegte, kurz gemähte Rasen wurde erst ab dem siebzehnten Jahrhundert zum Symbol von Reichtum und Luxus. Denn wer sich die Pflege eines Rasens – der noch dazu keine konkrete Funktion hat, ausser schön auszusehen – leisten konnte, konnte nur extrem reich sein. Constantin Seibt schreibt in seinem Text «Pflanze der Macht» treffend: «Rasen ist eine absurd teure, absurd nutzlose Pflanze: Sie verlangt dauernde Pflege – wird der Rasen nicht regelmässig gedüngt, bewässert, geschnitten, nachgesät, stirbt oder verwildert er sofort. Dafür liefert er niemandem den geringsten Nutzen: Tiere können nicht darauf weiden. Nicht einmal mehr als eine Handvoll Insektenarten können in ihm leben. Kurz: Rasen ist das perfekte Luxusgut. Unbequem, unbrauchbar, unerschwinglich, aber weitherum sichtbar.»

Sollten wir auch ausserhalb des Monats Mai weniger mähen?

Tamson Yeh, eine US-Bodenspezialistin, ist der Meinung, dass der «No Mow May» zwar gute Absichten hege, der Ansatz jedoch nicht unbedingt nur gut sei. Sie argumentiert, dass es viel nützlicher wäre, generell weniger zu mähen, anstatt einfach nur im Monat Mai den Rasenmäher stehen zu lassen. Die oben genannte Studie spricht auch eher dafür.

In der Schweiz gibt es keinen «No Mow May». Gibt es andere, ähnliche Aktionen?

Mission B ist eine Schweizer Organisation, die sich den Erhalt der Biodiversität zum Ziel gesetzt hat. Auch das Mähen spielt dabei eine grosse Rolle. Einige Tipps daraus: Ein- bis zweimal im Jahr mähen. Erst mähen, wenn die Blumen verblüht sind. Besser frühmorgens oder spätnachmittags mähen. Nicht alles auf einmal mähen, sondern gestaffelt. Randbereiche stehen lassen.

Ich habe keinen Rasen. Wie kann ich die Biodiversität trotzdem fördern?

Mission B sagt: Jeder Quadratmeter zählt. Und dazu gehören zum Beispiel Balkone oder auch einfach Fenstersimse. Denn gerade in den Städten steht es oft schlecht um die Biodiversität.

Qu'est-ce que le «No Mow May»?

Le «No Mow May» est une action qui a été lancée en Grande-Bretagne et qui s'est entre-temps exportée au-delà. L'objectif est que les gens ne tondent pas leur pelouse pendant tout le mois de mai. Pendant cette période, les pelouses sont délibérément laissées à elles-mêmes et les fleurs et plantes sauvages ont la possibilité de pousser et de fleurir en toute liberté. L'idée est de créer des habitats pour les insectes, en particulier les insectes pollinisateurs comme les abeilles et les papillons, et de promouvoir la biodiversité.

A quoi sert le «No Mow May»?

Selon les initiateurs, ne pas tondre le gazon est une méthode simple et écologique pour favoriser la biodiversité: en autorisant la présence de fleurs et de plantes sauvages sur les pelouses, on crée des habitats pour les insectes et les petits animaux. Les abeilles et autres insectes pollinisateurs trouvent en outre davantage de sources de nourriture, ce qui soutient la survie de leurs populations. De plus, une pelouse non tondue peut absorber plus d'eau, ce qui aide à réguler les ruissellements et les inondations.

La tonte du gazon est-elle vraiment si nuisible?

Les pelouses qui sont fréquemment tondues présentent une biodiversité plus faible, selon une étude canadienne. Cela ne signifie pas nécessairement que la tonte du gazon est nuisible en soi, mais cela signifie qu'une tonte réduite peut apporter de nombreux avantages. Chris Watson, auteur principal de l'étude en question, explique: «Même une réduction modeste de la fréquence de tonte peut apporter de nombreux avantages environnementaux: une activité accrue des insectes pollinisateurs, une plus grande diversité des plantes et une réduction des émissions de gaz à effet de serre. En même temps, une pelouse plus longue entraîne une meilleure résistance aux parasites, aux mauvaises herbes et aux périodes de sécheresse».

Fondamentalement, jusqu’à quel point le gazon est-il naturel?

En réalité, pas du tout. Le gazon n'existe pas dans la nature. Ce n'est qu'à partir du 17e siècle que le gazon bien entretenu et tondu est devenu un symbole de richesse et de luxe. Car celui qui pouvait se permettre d'entretenir une pelouse - qui en plus est sans fonction concrète, si ce n'est celle d'être belle - ne pouvait qu’être extrêmement riche. Dans son texte «Pflanze der Macht», Constantin Seibt écrit de manière très pertinente: «Le gazon est une plante absurdement chère et absurdement inutile: elle exige des soins permanents - si le gazon n'est pas régulièrement fertilisé, arrosé, coupé, ressemé, il meurt ou s'ensauvage immédiatement. Il n'est d'aucune utilité pour personne: les animaux ne peuvent pas y pâturer. Même une poignée d'espèces d'insectes ne peut pas y vivre. En bref, le gazon est un produit de luxe parfait. Inconfortable, inutilisable, inabordable, mais bien visible de loin».

Faudrait-il également tondre moins le reste de l’année?

L'auteure de cet article estime que, bien que le «No Mow May» ait de bonnes intentions, cette approche n’a pas que des bons côtés. Elle affirme qu'il serait bien plus utile de tondre moins en général, plutôt que de laisser simplement la tondeuse au garage au mois de mai. L'étude susmentionnée va également dans ce sens.

Il n'y a pas de «No Mow May» en Suisse. Existe-t-il d'autres actions similaires?

Mission B est une organisation suisse qui s'est fixé pour objectif de préserver la biodiversité. La fauche y joue également un rôle important, comme le montre cet article. Quelques conseils: tondre une à deux fois par an. Ne tondre que lorsque les fleurs sont fanées. Mieux vaut tondre tôt le matin ou tard l'après-midi. Ne pas tout tondre en même temps, mais de manière échelonnée. Laisser les bordures en place.

Je n'ai pas de pelouse. Comment puis-je quand même faire quelque chose en faveur de la biodiversité?

Selon Mission B, chaque mètre carré compte. Et cela inclut par exemple les balcons ou simplement les rebords de fenêtres. Car c'est justement dans les villes que la biodiversité est souvent en plus mauvaise posture.

Cos’è il «No Mow May»?

«No Mow May» è un’azione nata in Gran Bretagna e diffusasi ormai in tutto il mondo. L’obiettivo è far sì che le persone non taglino l’erba del loro giardino durante tutto il mese di maggio. Durante questo arco di tempo, il prato viene volontariamente lasciato libero di proliferare e fiori selvatici e piante hanno la possibilità di crescere e fiorire. L’idea di fondo è creare uno spazio vitale per gli insetti, in particolare per gli impollinatori come le api e le farfalle, e al contempo promuovere la biodiversità.

A cosa serve il «No Mow May»?

Secondo i promotori, non tagliare l’erba è un metodo semplice e sostenibile per promuovere la diversità delle specie: lasciando fiori selvatici e piante liberi di crescere nei nostri giardini, vengono creati spazi vitali ideali per insetti e piccoli animali. Api e altri insetti impollinatori trovano inoltre un numero maggiore di fonti di nutrimento e ciò permette alla loro popolazione di crescere. E infine: un prato non tagliato assorbe una maggiore quantità di acqua e può aiutare a regolare i deflussi e le inondazioni.

Tagliare il prato è davvero così dannoso?

Uno studio canadese ha concluso che i prati che vengono tagliati troppo spesso presentano una minore biodiversità. Non significa necessariamente che tagliare l’erba sia dannoso di per sé. Vuol dire però che tagliarla meno spesso può portare numerosi vantaggi. Il dottor Chris Watson, autore principale dello studio menzionato, spiega: «anche una minima riduzione della frequenza di taglio può presentare numerosi vantaggi per l‘ambiente: aumento della diversità degli insetti impollinatori e delle piante nonché una riduzione delle emissioni di gas serra. Al contempo, l’erba più alta è più resistente agli insetti nocivi, alle erbacce e ai periodi di siccità.»

Partiamo dalle basi: quanto è naturale il prato in giardino?

Non lo è per nulla. Il prato all’inglese in natura non esiste. Il prato curato, corto e ben tagliato è diventato un simbolo di ricchezza e lusso a partire dal diciassettesimo secolo. Chi poteva permettersi di curare il prato in questo modo, che non ha nessun’altra funzione al di fuori dell’apparenza estetica, non poteva che essere estremamente ricco. Constantin Seibt scrive giustamente nel suo testo «Pflanze der Macht» (le piante del potere): «il prato all’inglese è una pianta assurdamente costosa e assurdamente inutile. Richiede una cura costante: se non viene regolarmente concimato, innaffiato, tagliato e riseminato, muore immediatamente o si inselvatichisce. E in cambio non ha la benché minima utilità per nessuno: gli animali non possono pascolarci e in esso può vivere solo una misera manciata di insetti. In breve: il prato all’inglese è il perfetto bene di lusso. Scomodo, inservibile, inaccessibile ma decisamente appariscente.»

Dovremmo tagliare meno spesso l’erba anche durante gli altri mesi?

L’autrice di questo articolo ritiene che le intenzioni dietro il «No Mow May» siano buone ma che l’approccio non sia completamente positivo. Argomenta che sarebbe molto più utile se in generale tagliassimo l’erba meno spesso invece di farlo solo nel mese di maggio. Anche lo studio menzionato in precedenza è dello stesso parere.

In Svizzera non esiste il «No Mow May». Ci sono altre azioni simili?

Mission B è un’organizzazione svizzera che ha come obiettivo la preservazione della biodiversità. Anche il taglio dei prati ha un ruolo importante in questo ambito come è possibile leggere in questo articolo. Alcuni consigli? Tagliare il prato una o due volte all’anno. Tagliare l’erba solo una volta che i fiori sono sfioriti. Meglio mettersi al lavoro la mattina presto o nel tardo pomeriggio. Non tagliare tutto in una volta ma procedere a tappe. Lasciate una striscia lungo i bordi.

Non ho un giardino. Come posso contribuire a promuovere la biodiversità?

Mission B spiega: ogni metro quadrato conta. E qui entrano in gioco ad esempio i balconi o i davanzali delle finestre. È proprio nelle città che la situazione della biodiversità è più preoccupante.

C'est l'objectif du "No Mow May". Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
L'intention derrière tout cela : Promouvoir la biodiversité. Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
Les insectes pollinisateurs comme les abeilles se réjouissent d'avoir plus de nourriture. Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
Mais l'homme en profite également en tondant moins. Car l'entretien du gazon est coûteux. Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
Une pelouse plus longue est plus résistante aux parasites, aux mauvaises herbes et aux périodes de sécheresse. Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
Cependant, ce n'est pas seulement en mai qu'il faudrait tondre moins, comme le suggère l'action "No Mow May". Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
Les experts en biodiversité sont d'avis qu'il faudrait en principe moins tondre. Photo : Unsplash
Les voyages : Les longs voyages en avion sont de véritables tueurs de climat. C'est pourquoi il vaut mieux miser sur des vacances dans son propre pays. S'il faut quand même partir plus loin, il faut absolument payer le petit supplément pour la compensation du CO₂.
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Première publication: 
15.8.2023
  | Dernière mise à jour: 
16.8.2023
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